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Malgré la pandémie qui sévissait toujours, le marché du travail québécois présentait en octobre 2020 un nombre historiquement élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois d’octobre 2020.
Amorcée depuis la levée du premier confinement en juin dernier, la relance de l’emploi au Québec a toutefois ralenti depuis quelques mois. Les restrictions sanitaires mises en place en octobre ont été maintenues, et dans certains cas renforcés, atténuant ainsi la reprise observée au cours de l’été. Néanmoins, avec une création nette de 15 700 emplois, presque en totalité à temps plein, le Québec a récupéré près de 97,5 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier.
La reprise de l’emploi au Québec tourne au ralenti depuis deux mois. Assumant une grande partie des restrictions sanitaires liées à la COVID-19, le secteur de l’hébergement et de la restauration est loin de son niveau d’emploi observé en novembre 2019 (73 100 emplois de moins). Néanmoins, avec une création nette de 15 700 emplois, en grande majorité à temps plein, le Québec a récupéré 97 % du niveau d’emplois de février.
Alors qu’avant la pandémie les jeunes de 15 à 24 ans étaient plus que jamais sollicités par les employeurs pour intégrer le marché du travail, ce groupe d’âge s’avère actuellement le plus durement touché par la crise. Les données à ce chapitre sont sans équivoque : bien que les 15-24 ans ne représentent que 13 % des travailleurs du Québec, ce groupe populationnel a subi plus de la moitié (53,6 %) des pertes d’emplois survenues au Québec entre octobre 2019 et octobre 2020. Préoccupante, cette situation –et les écarts constatés avec les autres groupes d’âge– s’avèrent toutefois similaires en Ontario.
Après cinq mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec s’est stabilisée globalement. Une création d’emplois dans plusieurs secteurs a été annulée par la perte de près de 42 000 emplois dans le secteur d’hébergement et de la restauration.
Après cinq mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec s’est stabilisée globalement. Une création d’emplois dans plusieurs secteurs a été annulée par la perte de près de 42 000 emplois dans le secteur d’hébergement et de la restauration. Ces pertes d’emplois sont en grande majorité des emplois à temps partiel. Ces chiffres ne sont guère surprenants considérant l’annonce d’un confinement partiel du Québec au début octobre et la réduction majeure des activités dans la restauration. Néanmoins, le Québec n’est plus qu’à récupérer 107 000 emplois afin de revenir au niveau observé en octobre 2019 (près de 75 % de ces emplois à récupérer se situent dans le secteur de l’hébergement et de la restauration).
Après plusieurs années de surplus budgétaires, le gouvernement du Québec a annoncé en juin 2020 un déficit record de 14,9 G$ pour l’année en cours. Ce déficit a évidemment été causé par la première vague de la COVID-19 et l’arrêt de l’économie qu’elle a suscité.
Depuis le mois de mai 2020, le nombre de chômeurs est en constante diminution. La reprise de l’emploi, importante dès les premières semaines qui ont suivi la réduction des mesures sanitaires, a depuis ralenti quelque peu.
La remontée de l’emploi amorcée en juin 2020 s’est confirmée en septembre. Avec 76 700 emplois créés en un mois, le Québec affiche une des meilleures performances au pays. Avec 7,4 %, le taux de chômage ressemble à celui observé en 2016.
La crise de la COVID-19 a créé des conditions très difficiles pour les entreprises du Québec. La récession dans laquelle le Québec et le monde sont entrés est exceptionnelle par son ampleur et la vitesse à laquelle elle est survenue. Plusieurs entreprises ont dû se départir d’employés. D’autres ont annulé des projets.
Les chiffres d’emplois du mois d’août confirment une reprise solide de l’emploi au Québec. À 8,7 %, le taux de chômage de l’économie québécoise se compare assez favorablement à celui des autres provinces. Autre point positif, les emplois créés sont tous à temps plein, alors qu’ils étaient tous à temps partiel en juillet.
Avec 54 000 personnes de plus à l’emploi le mois dernier, le marché du travail au Québec prend du mieux. Bien que cette croissance du nombre d’emplois soit plus faible qu’en juillet, les emplois créés ou récupérés en août sont tous à temps plein. De plus, le commerce de détail et de gros retrouve des niveaux d’emplois semblables à ceux de l’an dernier.
Madame Mia Homsy, de retour de congé de maternité le 31 août dernier, a été promue au titre de présidente-directrice générale de l’IDQ à la réunion du conseil d’administration tenue le 27 août dernier. Raymond Bachand devient le président exécutif du conseil.
La forte reprise de l’emploi au Québec après le choc de la pandémie ne permettra pas de pleinement rattraper, en 2021, le taux d’emploi de 2019. Il restera un écart important à combler pour retrouver un marché du travail en aussi bonne santé qu’avant la crise.
Depuis trois mois, la création et la récupération d’emploi au Québec est positive. Après un mois de mai et de juin au-dessus de 200 000 emplois, les chiffres de juillet sont moins impressionnants. La reprise économique post-COVID 19 après un départ agressif, a peut-être ralentie.
Après un mois de juin qui laissait entrevoir une reprise de l’emploi robuste, celle-ci a ralenti au cours du mois de juillet. Avec 98 000 emplois créés (ou récupérés) en juillet (248 000 le mois précédent), il y a toujours 208 000 emplois de moins qu’en juillet 2019. De plus, l’ensemble des emplois créés ou récupérés sont des emplois à temps partiel. Toutefois, il s’agit d’un troisième mois positif de suite, ce qui laisse entendre que le Québec est sur la voie de la reprise. Le secteur de l’hébergement et de la restauration demeure le plus durement touché par la crise de la COVID-19.
Le rebond semble bien amorcé. Les chiffres de juin confirment que le marché du travail au Québec récupère tranquillement les pertes occasionnées par la crise de la COVID-19. Près de 60 % des emplois perdus en mars et en avril ont été récupérés.
Le Québec amorce une remontée vers la situation qui prévalait avant la crise causée par la COVID-19. Avec 248 000 emplois créés (ou récupérés) en juin, c’est tout de même encore 289 000 emplois de moins que l’an dernier.
Le début de cette décennie marque l’occasion de constater les forces et faiblesses, ainsi que les progrès et difficultés de Montréal, qu’ils soient nouveaux ou présents depuis longtemps.
Sommes-nous entrain d’observer un rebond? Les chiffres de mai pour le Québec de l’Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada sont meilleurs que ceux espérés.
Si la crise de la COVID-19 a modifié en profondeur le marché de l’emploi au Québec avec un mois d’avril 2020 catastrophique, un rebond semble en cours. Des 778 300 emplois perdus le mois dernier, l’économie québécoise a récupéré plus de 200 000 emplois le mois dernier.
Pendant des décennies, les politiques économiques des gouvernements ont été conçues en fonction de la création d’emploi et de la réduction du taux de chômage. Mais cet enjeu ne peut plus être un objectif ou une mesure de succès parce que nous sommes en présence d’un changement de paradigme où, en raison de facteurs démographiques, le Québec et le Canada connaissent une réduction naturelle de leur taux de chômage et sont confrontés à des pénuries de main-d’œuvre qui compromettent la croissance économique. Ce thème a été abordé de nombreuses fois par l’Institut du Québec (IDQ).
Entre février 2020 et avril 2020:
le taux de chômage a augmenté de 12,5 points de pourcentage, passant de 4,5 % à 17 %. Le nombre de chômeurs s’élève aujourd’hui à 729 400 personnes (204 700 personnes en février) au Québec;
le taux d’emploi des 25-54 ans a diminué de 12,5 points de pourcentage, passant de 85,7% à 73,2 %
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois d’avril 2020 par rapport à avril 2019 (analyse sur un an).
La crise de la COVID-19 a modifié en profondeur le marché de l’emploi au Québec. D’un des plus vigoureux au Canada, il est maintenant dans une situation critique avec une montée spectaculaire du chômage.
Cette analyse est basée sur la semaine du 12 au 18 avril, au cœur des mesures de confinement.
Dans le cadre de la crise de la COVID-19, l’Institut du Québec a produit une analyse plus détaillée des chiffres mensuels en lien avec son indice mensuel de l’emploi pour le mois de mars 2020 par rapport à mars 2019 (analyse sur un an). afin de capter les changements profonds survenus en mars dans le marché de l’emploi au Québec. Le document en pièce jointe se concentre sur les personnes qui ne sont pas comprises dans les chiffres de chômage officiels mais qui subissent les conséquences de la crise actuelle.
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois de mars 2020 par rapport à mars 2019 (analyse sur un an).
La vigueur du marché du travail demeure en progression sur un an
Au cours des six dernières années, le Québec a opéré un revirement remarquable de ses finances publiques. Grâce à la convergence de plusieurs facteurs, le Québec a maintenu le rythme de désendettement relatif le plus rapide de son histoire moderne entre 2013 et 2019. Les cibles fixées en 2010 sont atteintes ou en voie de l’être avant l’échéance.
Que faire maintenant ? Cette étude se penche sur cinq scénarios – la continuation du statu quo et quatre alternatives – et analyse leurs impacts à l’horizon 2029–2030.
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois de janvier 2020 par rapport à janvier 2019 (analyse sur un an).
La vigueur du marché du travail : en progression
Entre 2015 et 2019, l’économie québécoise a créé au net plus de 280 000 emplois. Cinq ans de création d’emploi qui confirment un marché du travail influencé par une croissance économique vigoureuse mais aussi par un changement structurel dû au vieillissement de la population.