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Le recul des postes vacants s’explique en partie par l’arrivée de nombreux immigrants temporaires qui a fait accroître le nombre de travailleurs disponibles au Québec.
Les Québécoises ont réalisé des progrès énormes en ce qui a trait à leur intégration au marché de l’emploi.
Plus d’emplois dans le secteur public : y-a-t-il de quoi s’inquiéter?
La population active québécoise augmente avec l’arrivée de résidents temporaires
En décembre dernier, Statistique Canada révélait que le nombre d’immigrants temporaires avait atteint 528 000 au Québec au 1er octobre 2023. Ce bond démographique n’est pas sans impact sur le marché du travail québécois.
S’ils ne viennent pas tous pour travailler au Québec – le chiffre inclus notamment des étudiants, des familles accompagnants des travailleurs, des demandeurs d’asile – l’EPA révèle une hausse importante du bassin des travailleurs et des chercheurs d’emploi détenteurs d’un statut temporaire. Cette part de la population active a été multiplié par 4,73 entre 2016 et 2023. Ça peut être des personnes venues spécialement pour travailler (programme des travailleurs temporaires et autres permis de travail), qui travaillent pendant leurs études ou encore qui ont obtenus le droit de travailler en attendant que les autorités statuent sur leur demande de refuge.
Au Québec, entre le second et le troisième trimestre de 2023, le nombre de postes vacants a diminué de 25 430 pour atteindre 165 430. Ceci est cohérent avec la stagnation de l’économie québécoise qui est observée depuis quelques mois.
Note d’analyse Des idées pour 2024 Et éviter que le Québec prenne du retard Cette note propose des pistes de réflexion basées sur les études récentes de l’Institut du Québec pour inspirer des politiques publiques qui permettraient de mieux préparer […]
Note d’analyse Emploi dans la santé et l’éducation : deux dynamiques bien différentes Un marché du travail moins tendu, mais des défis pour la santé et l’enseignement Des signes de relâchement du marché du travail québécois sont manifestes avec […]
Note d’analyse Le point sur la situation économique et financière du Québec Un moment charnière pour les finances publiques du Québec Dans la mise à jour qu’il dépose chaque automne, le ministère des Finances du Québec fait le point sur […]
Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Après avoir augmenté de façon quasi ininterrompue depuis le 2e trimestre de 2015 (date à laquelle les premières données comparables ont été publiées), le nombre de postes vacants a finalement décliné entre le deuxième et le troisième trimestre de 2022 en passant de 249 015 à 232 430.
Le nombre de postes vacants a légèrement augmenté entre le quatrième trimestre de 2021 (241 195 postes) et le premier trimestre de 2022 (245 470 postes).
Le nombre de postes vacants a légèrement augmenté entre le quatrième trimestre de 2021 (241 195 postes) et le premier trimestre de 2022 (245 470 postes).
Le nombre de postes vacants n’a presque pas augmenté entre le troisième (238 050) et le quatrième (238 140) trimestre de 2021.
Au lendemain du dépôt du budget du Québec 2022-223, l’Institut du Québec vous propose son analyse.
Entre le troisième trimestre de 2019 et le troisième trimestre de 2021, six secteurs sont responsables de près de 80% de la croissance des postes vacants. Cependant les dynamiques à l’œuvre sont de deux types : alors que certains secteurs ne parviennent pas à attirer assez de travailleurs pour retrouver le niveau d’emploi d’avant la pandémie, d’autres ont largement dépassé ce niveau mais sont quand même aux prises avec une hausse importante des postes à pourvoir.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
Pour l’Institut du Québec (IDQ), qui a publié de nombreuses études sur ces enjeux et poursuit ses travaux sur cette problématique, cette orientation constitue une très bonne nouvelle. Par ces interventions, le gouvernement du Québec s’attaquera à un enjeu majeur pour l’économie et la société. En vue de la mise à jour économique qui viendra préciser les pistes d’intervention évoquées dans le discours inaugural et dont le dépôt est prévu pour le 25 novembre prochain.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
En septembre 2021, le taux d’activité des femmes de 25 à 54 ans a atteint son plus haut sommet (87,7 %) depuis que Statistique Canada compile les données, soit 1976.
Au deuxième trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à
La campagne électorale en cours représentait une occasion en or pour les différents partis de proposer une nouvelle façon pour les gouvernements de soutenir notre économie, de concevoir le développement et leurs politiques de main d’œuvre.
• Malgré des progrès notables au chapitre du taux chômage, qui a reculé de 0,3 point de pourcentage pour s’établir à son niveau le plus faible enregistré depuis le début de la pandémie (5,8 %), l’emploi déçoit avec un léger recul de 11 000 emplois
Marché du travail au Québec: Davantage d’opportunités, mais le chômage de longue durée demeure élevé
Des signaux encourageants : le taux de sous-utilisation de la main-d’œuvre diminue de 1,2 point de pourcentage en juillet 2021 pour atteindre 12 %. Il s’agit du plus faible taux depuis le début de la pandémie.
Il y a 63 300 personnes de plus dans la population active, notamment grâce au retour des jeunes (+39 000) et des femmes (+29 900).
Plus de postes vacants, plus de chômeurs. Au premier trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à 146 865
Selon les dernières données de l’Enquête sur la population active, la situation de l’emploi est stable en mai 2021
Les femmes sont plus touchées par les restrictions depuis le début de 2021. C’est surtout le cas en avril alors qu’elles enregistrent une perte de 19 000 emplois (+5 700 emplois chez les hommes).
Note d’analyse Mise à jour : Aérospatiale – Un an après la pandémie, les besoins sont encore plus importants Téléchargez la note d’analyse en français (PDF) Téléchargez la note d’analyse en anglais (PDF) Les deux rapports sur l’aérospatiale publiés […]
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Un taux de postes vacants record…malgré la pandémie!
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Malgré une légère accalmie, le marché du travail québécois présentait en décembre 2020 un nombre élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois de décembre 2020.
Lutter contre les inégalités pandémiques et accroître la productivité : mémoire de l’IDQ pour les consultations prébudgétaires du gouvernement du Québec 2021-2022
En janvier 2021, le Québec a perdu 97 900 emplois pour atteindre 94,2 % du niveau d’emploi prépandémie (février 2020). La fermeture des commerces non essentiels décrétée par le gouvernement du Québec dès le 25 décembre est en grande partie responsable de ces pertes d’emplois.
En décembre 2020, le Québec a perdu 16 800 emplois pour atteindre 97,1 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier. Le mois précédent, le Québec avait enregistré un gain d’emplois du même ordre de grandeur (15 700), ce qui nuance le portrait.
Les travailleurs du principal groupe d’âge (25-54 ans) continuent d’être en bonne position avec un taux d’activité stable et un taux de chômage à la baisse. Cependant, plusieurs indicateurs restent inquiétants.
Malgré la pandémie qui sévissait toujours, le marché du travail québécois présentait en octobre 2020 un nombre historiquement élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois d’octobre 2020.
Amorcée depuis la levée du premier confinement en juin dernier, la relance de l’emploi au Québec a toutefois ralenti depuis quelques mois. Les restrictions sanitaires mises en place en octobre ont été maintenues, et dans certains cas renforcés, atténuant ainsi la reprise observée au cours de l’été. Néanmoins, avec une création nette de 15 700 emplois, presque en totalité à temps plein, le Québec a récupéré près de 97,5 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier.
Alors qu’avant la pandémie les jeunes de 15 à 24 ans étaient plus que jamais sollicités par les employeurs pour intégrer le marché du travail, ce groupe d’âge s’avère actuellement le plus durement touché par la crise. Les données à ce chapitre sont sans équivoque : bien que les 15-24 ans ne représentent que 13 % des travailleurs du Québec, ce groupe populationnel a subi plus de la moitié (53,6 %) des pertes d’emplois survenues au Québec entre octobre 2019 et octobre 2020. Préoccupante, cette situation –et les écarts constatés avec les autres groupes d’âge– s’avèrent toutefois similaires en Ontario.
Après cinq mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec s’est stabilisée globalement. Une création d’emplois dans plusieurs secteurs a été annulée par la perte de près de 42 000 emplois dans le secteur d’hébergement et de la restauration.
Depuis le mois de mai 2020, le nombre de chômeurs est en constante diminution. La reprise de l’emploi, importante dès les premières semaines qui ont suivi la réduction des mesures sanitaires, a depuis ralenti quelque peu.
Les chiffres d’emplois du mois d’août confirment une reprise solide de l’emploi au Québec. À 8,7 %, le taux de chômage de l’économie québécoise se compare assez favorablement à celui des autres provinces. Autre point positif, les emplois créés sont tous à temps plein, alors qu’ils étaient tous à temps partiel en juillet.
Depuis trois mois, la création et la récupération d’emploi au Québec est positive. Après un mois de mai et de juin au-dessus de 200 000 emplois, les chiffres de juillet sont moins impressionnants. La reprise économique post-COVID 19 après un départ agressif, a peut-être ralentie.
Le rebond semble bien amorcé. Les chiffres de juin confirment que le marché du travail au Québec récupère tranquillement les pertes occasionnées par la crise de la COVID-19. Près de 60 % des emplois perdus en mars et en avril ont été récupérés.
Sommes-nous entrain d’observer un rebond? Les chiffres de mai pour le Québec de l’Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada sont meilleurs que ceux espérés.
Entre février 2020 et avril 2020:
le taux de chômage a augmenté de 12,5 points de pourcentage, passant de 4,5 % à 17 %. Le nombre de chômeurs s’élève aujourd’hui à 729 400 personnes (204 700 personnes en février) au Québec;
le taux d’emploi des 25-54 ans a diminué de 12,5 points de pourcentage, passant de 85,7% à 73,2 %
Dans le cadre de la crise de la COVID-19, l’Institut du Québec a produit une analyse plus détaillée des chiffres mensuels en lien avec son indice mensuel de l’emploi pour le mois de mars 2020 par rapport à mars 2019 (analyse sur un an). afin de capter les changements profonds survenus en mars dans le marché de l’emploi au Québec. Le document en pièce jointe se concentre sur les personnes qui ne sont pas comprises dans les chiffres de chômage officiels mais qui subissent les conséquences de la crise actuelle.
Le vieillissement de la population deviendra le principal frein à la croissance de l’emploi au Québec;
Un clivage entre la réalité du marché du travail de la région métropolitaine de Montréal et celle des autres régions du Québec est en pleine émergence;
Cela nous mène à conclure que des ajustements aux politiques publiques à court et moyen termes seront nécessaires pour minimiser l’impact du vieillissement sur la croissance économique et la livraison des services à la population.
L’arrivée d’un nouveau gouvernement à Québec entraîne un changement de cap économique qui s’articule principalement autour de deux priorités : rattraper le retard de richesse que le Québec accuse sur l’Ontario et y accroître le nombre d’emplois bien rémunérés. Pour alimenter la réflexion autour de ces enjeux, l’Institut du Québec (IdQ) propose aujourd’hui une note de recherche intitulée Plus d’emplois bien rémunérés, est-ce possible? Analyse des écarts salariaux entre le Québec et l’Ontario. Par cette analyse, nous cherchions d’abord à valider si les enjeux identifiés par le nouveau gouvernement correspondaient à de réels défis pour le Québec et à mieux comprendre où se situent les écarts salariaux entre le Québec et l’Ontario. Ainsi, il nous apparaissait essentiel d’avoir un portait clair des enjeux afin de tabler sur les bonnes cibles et de mettre les meilleures actions en place.