Publications sur la main-d’oeuvre
Toutes les publications
Publications par type de publication
Rapports
Notes d'analyse
Indice de l'emploi
Collaborations
Publications par thème de recherche
Main-d'oeuvre
Finances publiques
Développement économique
Équité, justice sociale et développement durable
Publications par année
2022
2021
2020
2019
2018
2017
2016
2015
2014
Nous avons analysé le parcours des étudiants étrangers (qui représentent près de la moitié des résidents temporaires au Québec), de leur acceptation par un établissement d’enseignement québécois à l’admission à la résidence permanente pour certains, et identifié de nombreuses incohérences dans les politiques et les programmes les encadrant.
Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Cette édition du Bilan de l’emploi met en évidence des transformations en profondeur du marché du travail québécois. Afin de porter un regard judicieux sur une nouvelle réalité, l’IDQ propose une attention particulière aux déséquilibres du marché de l’emploi et à leurs facteurs déterminants.
Après avoir augmenté de façon quasi ininterrompue depuis le 2e trimestre de 2015 (date à laquelle les premières données comparables ont été publiées), le nombre de postes vacants a finalement décliné entre le deuxième et le troisième trimestre de 2022 en passant de 249 015 à 232 430.
Retenir un peu plus longtemps les Québécois qui approchent la retraite et faire revenir ceux qui ont déjà fait le saut : voilà certaines des pistes de solution mises de l’avant par les entreprises et les gouvernements pour faire face aux pénuries de main-d’œuvre qui sévissent un peu partout au Québec. Mais tout comme l’immigration ou l’automatisation, le recours aux travailleurs plus âgés n’est pas une solution magique. Afin de traverser la prochaine décennie, qui comptera plus de départs à la retraite que de jeunes entamant leur carrière, c’est une multitude de mesures qu’il faudra mettre en place. Et pour qu’elles soient efficaces, il est essentiel d’évaluer correctement le potentiel de chacune et d’identifier les défis à sa mise en œuvre.
Le nombre de postes vacants a légèrement augmenté entre le quatrième trimestre de 2021 (241 195 postes) et le premier trimestre de 2022 (245 470 postes).
Le nombre de postes vacants a légèrement augmenté entre le quatrième trimestre de 2021 (241 195 postes) et le premier trimestre de 2022 (245 470 postes).
En raison des récents développements du marché du travail et des changements apportés à certaines approches de la politique d’immigration, cette note de recherche vise à brosser un portrait plus à jour de l’immigration et à formuler des recommandations afin d’améliorer les stratégies d’attraction, d’intégration et de rétention des immigrants au Québec.
Les écarts de revenus entre les hommes et les femmes qui ont un parcours similaire et qui travaillent à temps plein, s’élèvent en moyenne à 9 % et ce, dès la première année suivant l’obtention de leur diplôme postsecondaire
Le nombre de postes vacants n’a presque pas augmenté entre le troisième (238 050) et le quatrième (238 140) trimestre de 2021.
Notre analyse démontre que le marché du travail québécois s’est presqu’entièrement remis des dommages causés par les premières vagues de la pandémie. Mais la crise sanitaire a tout de même exacerbé certaines faiblesses et fait ressortir de nouveaux défis.
Entre le troisième trimestre de 2019 et le troisième trimestre de 2021, six secteurs sont responsables de près de 80% de la croissance des postes vacants. Cependant les dynamiques à l’œuvre sont de deux types : alors que certains secteurs ne parviennent pas à attirer assez de travailleurs pour retrouver le niveau d’emploi d’avant la pandémie, d’autres ont largement dépassé ce niveau mais sont quand même aux prises avec une hausse importante des postes à pourvoir.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
Pour l’Institut du Québec (IDQ), qui a publié de nombreuses études sur ces enjeux et poursuit ses travaux sur cette problématique, cette orientation constitue une très bonne nouvelle. Par ces interventions, le gouvernement du Québec s’attaquera à un enjeu majeur pour l’économie et la société. En vue de la mise à jour économique qui viendra préciser les pistes d’intervention évoquées dans le discours inaugural et dont le dépôt est prévu pour le 25 novembre prochain.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
Combien gagnent les Québécois? Quel est le véritable portrait de la situation? Comment se compare véritablement le Québec avec l’Ontario? Quels sont les écarts salariaux entre les deux provinces?
En septembre 2021, le taux d’activité des femmes de 25 à 54 ans a atteint son plus haut sommet (87,7 %) depuis que Statistique Canada compile les données, soit 1976.
Au deuxième trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à
La campagne électorale en cours représentait une occasion en or pour les différents partis de proposer une nouvelle façon pour les gouvernements de soutenir notre économie, de concevoir le développement et leurs politiques de main d’œuvre.
• Malgré des progrès notables au chapitre du taux chômage, qui a reculé de 0,3 point de pourcentage pour s’établir à son niveau le plus faible enregistré depuis le début de la pandémie (5,8 %), l’emploi déçoit avec un léger recul de 11 000 emplois
Marché du travail au Québec: Davantage d’opportunités, mais le chômage de longue durée demeure élevé
Des signaux encourageants : le taux de sous-utilisation de la main-d’œuvre diminue de 1,2 point de pourcentage en juillet 2021 pour atteindre 12 %. Il s’agit du plus faible taux depuis le début de la pandémie.
Il y a 63 300 personnes de plus dans la population active, notamment grâce au retour des jeunes (+39 000) et des femmes (+29 900).
Plus de postes vacants, plus de chômeurs. Au premier trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à 146 865
Selon les dernières données de l’Enquête sur la population active, la situation de l’emploi est stable en mai 2021
La crise sanitaire a non seulement créé de nouveaux bassins de chômeurs et poussé de nombreuses personnes vers l’inactivité, mais elle a aussi exacerbé les besoins de main-d’œuvre dans certaines industries
Les femmes sont plus touchées par les restrictions depuis le début de 2021. C’est surtout le cas en avril alors qu’elles enregistrent une perte de 19 000 emplois (+5 700 emplois chez les hommes).
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Un taux de postes vacants record…malgré la pandémie!
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Malgré une légère accalmie, le marché du travail québécois présentait en décembre 2020 un nombre élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois de décembre 2020.
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
En janvier 2021, le Québec a perdu 97 900 emplois pour atteindre 94,2 % du niveau d’emploi prépandémie (février 2020). La fermeture des commerces non essentiels décrétée par le gouvernement du Québec dès le 25 décembre est en grande partie responsable de ces pertes d’emplois.
En décembre 2020, le Québec a perdu 16 800 emplois pour atteindre 97,1 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier. Le mois précédent, le Québec avait enregistré un gain d’emplois du même ordre de grandeur (15 700), ce qui nuance le portrait.
Les travailleurs du principal groupe d’âge (25-54 ans) continuent d’être en bonne position avec un taux d’activité stable et un taux de chômage à la baisse. Cependant, plusieurs indicateurs restent inquiétants.
Malgré la pandémie qui sévissait toujours, le marché du travail québécois présentait en octobre 2020 un nombre historiquement élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois d’octobre 2020.
Amorcée depuis la levée du premier confinement en juin dernier, la relance de l’emploi au Québec a toutefois ralenti depuis quelques mois. Les restrictions sanitaires mises en place en octobre ont été maintenues, et dans certains cas renforcés, atténuant ainsi la reprise observée au cours de l’été. Néanmoins, avec une création nette de 15 700 emplois, presque en totalité à temps plein, le Québec a récupéré près de 97,5 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier.
Alors qu’avant la pandémie les jeunes de 15 à 24 ans étaient plus que jamais sollicités par les employeurs pour intégrer le marché du travail, ce groupe d’âge s’avère actuellement le plus durement touché par la crise. Les données à ce chapitre sont sans équivoque : bien que les 15-24 ans ne représentent que 13 % des travailleurs du Québec, ce groupe populationnel a subi plus de la moitié (53,6 %) des pertes d’emplois survenues au Québec entre octobre 2019 et octobre 2020. Préoccupante, cette situation –et les écarts constatés avec les autres groupes d’âge– s’avèrent toutefois similaires en Ontario.
Après cinq mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec s’est stabilisée globalement. Une création d’emplois dans plusieurs secteurs a été annulée par la perte de près de 42 000 emplois dans le secteur d’hébergement et de la restauration.
Depuis le mois de mai 2020, le nombre de chômeurs est en constante diminution. La reprise de l’emploi, importante dès les premières semaines qui ont suivi la réduction des mesures sanitaires, a depuis ralenti quelque peu.
Les chiffres d’emplois du mois d’août confirment une reprise solide de l’emploi au Québec. À 8,7 %, le taux de chômage de l’économie québécoise se compare assez favorablement à celui des autres provinces. Autre point positif, les emplois créés sont tous à temps plein, alors qu’ils étaient tous à temps partiel en juillet.
La forte reprise de l’emploi au Québec après le choc de la pandémie ne permettra pas de pleinement rattraper, en 2021, le taux d’emploi de 2019. Il restera un écart important à combler pour retrouver un marché du travail en aussi bonne santé qu’avant la crise.
Depuis trois mois, la création et la récupération d’emploi au Québec est positive. Après un mois de mai et de juin au-dessus de 200 000 emplois, les chiffres de juillet sont moins impressionnants. La reprise économique post-COVID 19 après un départ agressif, a peut-être ralentie.
Le rebond semble bien amorcé. Les chiffres de juin confirment que le marché du travail au Québec récupère tranquillement les pertes occasionnées par la crise de la COVID-19. Près de 60 % des emplois perdus en mars et en avril ont été récupérés.
Sommes-nous entrain d’observer un rebond? Les chiffres de mai pour le Québec de l’Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada sont meilleurs que ceux espérés.
Entre février 2020 et avril 2020:
le taux de chômage a augmenté de 12,5 points de pourcentage, passant de 4,5 % à 17 %. Le nombre de chômeurs s’élève aujourd’hui à 729 400 personnes (204 700 personnes en février) au Québec;
le taux d’emploi des 25-54 ans a diminué de 12,5 points de pourcentage, passant de 85,7% à 73,2 %
Dans le cadre de la crise de la COVID-19, l’Institut du Québec a produit une analyse plus détaillée des chiffres mensuels en lien avec son indice mensuel de l’emploi pour le mois de mars 2020 par rapport à mars 2019 (analyse sur un an). afin de capter les changements profonds survenus en mars dans le marché de l’emploi au Québec. Le document en pièce jointe se concentre sur les personnes qui ne sont pas comprises dans les chiffres de chômage officiels mais qui subissent les conséquences de la crise actuelle.
Entre 2015 et 2019, l’économie québécoise a créé au net plus de 280 000 emplois. Cinq ans de création d’emploi qui confirment un marché du travail influencé par une croissance économique vigoureuse mais aussi par un changement structurel dû au vieillissement de la population.
L’économie québécoise performe exceptionnellement bien depuis trois ans. Plusieurs indicateurs en témoignent : croissance annuelle supérieure à 2 %, taux de chômage autour de 6 %, surplus budgétaires importants. Par rapport aux 20 dernières années, le Québec s’améliore indéniablement.
Cette étude se concentre sur l’importance de l’enseignement de qualité et de l’encadrement stratégique de la ressource la plus précieuse de tout système d’éducation : l’enseignant. Elle s’appuie sur une revue de la littérature et des meilleures pratiques canadiennes et internationales, ainsi qu’une série d’entrevues menées auprès de divers acteurs du milieu de l’éducation.
Le marché du travail québécois est non seulement en pleine mutation, mais il est confronté à des vents contraires. Alors que les départs massifs à la retraite des baby-boomers entraînent des besoins de main-d’œuvre croissants, les préoccupations face aux impacts des changements technologiques sur les travailleurs les plus vulnérables se multiplient. Ces changements viennent bouleverser les façons de faire établies et remettent en cause les paradigmes actuels.
Dans ce rapport, nous évaluons les incidences démographiques et économiques de différents scénarios d’immigration sur une période s’échelonnant de 2019 à 2040 afin d’alimenter la réflexion et les politiques d’immigration du Québec. Bien que nos analyses soient principalement d’ordre économique, nous sommes conscients que ces dernières ne représentent qu’une facette d’une réalité beaucoup plus complexe, qui inclut d’autres facteurs cruciaux comme l’intégration sociale et culturelle des immigrants.