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Le taux de chômage est maintenant de 5,9 %. Il était de 5,7 % le mois dernier et de 5,2 % l’an dernier.
Le Point sur la situation économique et financière du Québec, présenté demain par le ministre des Finances, ne devrait pas comporter de nouvelles mesures significatives pour les entreprises ou les ménages. Tout porte même à croire qu’elle viserait plutôt une réduction de certaines dépenses. L’Institut du Québec propose aujourd’hui une analyse pour mieux comprendre ce budget de mi-parcours.
En septembre 2024, le Québec a connu une diminution de son taux de chômage, passant de 5,7 % en août à 5,5 %, marquant ainsi la première baisse depuis janvier 2024.
Pourra-t-on réduire l’immigration temporaire ?
En septembre 2024, le Québec a connu une diminution de son taux de chômage, passant de 5,7 % en août à 5,5 %, marquant ainsi la première baisse depuis janvier 2024.
Le marché du travail passe de pénuries persistantes à un surplus de candidats
Note d’analyse Arrive-t-on finalement à combler les postes vacants dans les soins de santé et l’assistance sociale? Vigueur du marché du travail Le taux de chômage est maintenant de 5,7 %, inchangé par rapport au mois précédent. Il était de […]
À l’heure où il peut être alléchant d’abandonner ses études pour entrer sur le marché du travail, est-ce toujours aussi payant de faire des études?
Note d’analyse L’emploi au ralenti : les immigrants payent la note Vigueur du marché du travail Le taux de chômage est demeuré inchangé à 5,7 % en juillet. Il était de 4,5 % l’an dernier. Il y a 9 100 […]
La part des travailleurs canadiens ayant changé d’emploi d’un mois à l’autre a diminué au cours des derniers mois. En mai 2024 (dernières données disponibles), le taux de changement d’emploi est plus faible qu’avant la pandémie.
Les pénuries de main-d’œuvre s’atténuent, mais des pressions persistent sur le marché de l’emploi, surtout en santé.
Focus sur les répercussions du ralentissement économique sur le marché du travail chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans.
Focus sur les répercussions du ralentissement économique sur le marché du travail chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans.
Les Québécoises ont réalisé des progrès énormes en ce qui a trait à leur intégration au marché de l’emploi.
Le recul des postes vacants s’explique en partie par l’arrivée de nombreux immigrants temporaires qui a fait accroître le nombre de travailleurs disponibles au Québec.
Les Québécoises ont réalisé des progrès énormes en ce qui a trait à leur intégration au marché de l’emploi.
Nous avons analysé le parcours des étudiants étrangers (qui représentent près de la moitié des résidents temporaires au Québec), de leur acceptation par un établissement d’enseignement québécois à l’admission à la résidence permanente pour certains, et identifié de nombreuses incohérences dans les politiques et les programmes les encadrant.
Plus d’emplois dans le secteur public : y-a-t-il de quoi s’inquiéter?
L’année 2023 : moins de pénuries sur le marché de l’emploi
La population active québécoise augmente avec l’arrivée de résidents temporaires
En décembre dernier, Statistique Canada révélait que le nombre d’immigrants temporaires avait atteint 528 000 au Québec au 1er octobre 2023. Ce bond démographique n’est pas sans impact sur le marché du travail québécois.
S’ils ne viennent pas tous pour travailler au Québec – le chiffre inclus notamment des étudiants, des familles accompagnants des travailleurs, des demandeurs d’asile – l’EPA révèle une hausse importante du bassin des travailleurs et des chercheurs d’emploi détenteurs d’un statut temporaire. Cette part de la population active a été multiplié par 4,73 entre 2016 et 2023. Ça peut être des personnes venues spécialement pour travailler (programme des travailleurs temporaires et autres permis de travail), qui travaillent pendant leurs études ou encore qui ont obtenus le droit de travailler en attendant que les autorités statuent sur leur demande de refuge.
Au Québec, entre le second et le troisième trimestre de 2023, le nombre de postes vacants a diminué de 25 430 pour atteindre 165 430. Ceci est cohérent avec la stagnation de l’économie québécoise qui est observée depuis quelques mois.
Note d’analyse Emploi dans la santé et l’éducation : deux dynamiques bien différentes Un marché du travail moins tendu, mais des défis pour la santé et l’enseignement Des signes de relâchement du marché du travail québécois sont manifestes avec […]
Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Nous avons analysé le parcours des étudiants étrangers (qui représentent près de la moitié des résidents temporaires au Québec), de leur acceptation par un établissement d’enseignement québécois à l’admission à la résidence permanente pour certains, et identifié de nombreuses incohérences dans les politiques et les programmes les encadrant.
Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Nous avons analysé le parcours des étudiants étrangers (qui représentent près de la moitié des résidents temporaires au Québec), de leur acceptation par un établissement d’enseignement québécois à l’admission à la résidence permanente pour certains, et identifié de nombreuses incohérences dans les politiques et les programmes les encadrant.
Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Cette édition du Bilan de l’emploi met en évidence des transformations en profondeur du marché du travail québécois. Afin de porter un regard judicieux sur une nouvelle réalité, l’IDQ propose une attention particulière aux déséquilibres du marché de l’emploi et à leurs facteurs déterminants.
Après avoir augmenté de façon quasi ininterrompue depuis le 2e trimestre de 2015 (date à laquelle les premières données comparables ont été publiées), le nombre de postes vacants a finalement décliné entre le deuxième et le troisième trimestre de 2022 en passant de 249 015 à 232 430.
Retenir un peu plus longtemps les Québécois qui approchent la retraite et faire revenir ceux qui ont déjà fait le saut : voilà certaines des pistes de solution mises de l’avant par les entreprises et les gouvernements pour faire face aux pénuries de main-d’œuvre qui sévissent un peu partout au Québec. Mais tout comme l’immigration ou l’automatisation, le recours aux travailleurs plus âgés n’est pas une solution magique. Afin de traverser la prochaine décennie, qui comptera plus de départs à la retraite que de jeunes entamant leur carrière, c’est une multitude de mesures qu’il faudra mettre en place. Et pour qu’elles soient efficaces, il est essentiel d’évaluer correctement le potentiel de chacune et d’identifier les défis à sa mise en œuvre.
Le nombre de postes vacants a légèrement augmenté entre le quatrième trimestre de 2021 (241 195 postes) et le premier trimestre de 2022 (245 470 postes).
Le nombre de postes vacants a légèrement augmenté entre le quatrième trimestre de 2021 (241 195 postes) et le premier trimestre de 2022 (245 470 postes).
En raison des récents développements du marché du travail et des changements apportés à certaines approches de la politique d’immigration, cette note de recherche vise à brosser un portrait plus à jour de l’immigration et à formuler des recommandations afin d’améliorer les stratégies d’attraction, d’intégration et de rétention des immigrants au Québec.
Les écarts de revenus entre les hommes et les femmes qui ont un parcours similaire et qui travaillent à temps plein, s’élèvent en moyenne à 9 % et ce, dès la première année suivant l’obtention de leur diplôme postsecondaire
Le nombre de postes vacants n’a presque pas augmenté entre le troisième (238 050) et le quatrième (238 140) trimestre de 2021.
Notre analyse démontre que le marché du travail québécois s’est presqu’entièrement remis des dommages causés par les premières vagues de la pandémie. Mais la crise sanitaire a tout de même exacerbé certaines faiblesses et fait ressortir de nouveaux défis.
Entre le troisième trimestre de 2019 et le troisième trimestre de 2021, six secteurs sont responsables de près de 80% de la croissance des postes vacants. Cependant les dynamiques à l’œuvre sont de deux types : alors que certains secteurs ne parviennent pas à attirer assez de travailleurs pour retrouver le niveau d’emploi d’avant la pandémie, d’autres ont largement dépassé ce niveau mais sont quand même aux prises avec une hausse importante des postes à pourvoir.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
Pour l’Institut du Québec (IDQ), qui a publié de nombreuses études sur ces enjeux et poursuit ses travaux sur cette problématique, cette orientation constitue une très bonne nouvelle. Par ces interventions, le gouvernement du Québec s’attaquera à un enjeu majeur pour l’économie et la société. En vue de la mise à jour économique qui viendra préciser les pistes d’intervention évoquées dans le discours inaugural et dont le dépôt est prévu pour le 25 novembre prochain.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
Combien gagnent les Québécois? Quel est le véritable portrait de la situation? Comment se compare véritablement le Québec avec l’Ontario? Quels sont les écarts salariaux entre les deux provinces?
En septembre 2021, le taux d’activité des femmes de 25 à 54 ans a atteint son plus haut sommet (87,7 %) depuis que Statistique Canada compile les données, soit 1976.
Au deuxième trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à
La campagne électorale en cours représentait une occasion en or pour les différents partis de proposer une nouvelle façon pour les gouvernements de soutenir notre économie, de concevoir le développement et leurs politiques de main d’œuvre.
• Malgré des progrès notables au chapitre du taux chômage, qui a reculé de 0,3 point de pourcentage pour s’établir à son niveau le plus faible enregistré depuis le début de la pandémie (5,8 %), l’emploi déçoit avec un léger recul de 11 000 emplois
Marché du travail au Québec: Davantage d’opportunités, mais le chômage de longue durée demeure élevé
Des signaux encourageants : le taux de sous-utilisation de la main-d’œuvre diminue de 1,2 point de pourcentage en juillet 2021 pour atteindre 12 %. Il s’agit du plus faible taux depuis le début de la pandémie.
Il y a 63 300 personnes de plus dans la population active, notamment grâce au retour des jeunes (+39 000) et des femmes (+29 900).
Plus de postes vacants, plus de chômeurs. Au premier trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à 146 865
Selon les dernières données de l’Enquête sur la population active, la situation de l’emploi est stable en mai 2021
La crise sanitaire a non seulement créé de nouveaux bassins de chômeurs et poussé de nombreuses personnes vers l’inactivité, mais elle a aussi exacerbé les besoins de main-d’œuvre dans certaines industries