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Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de février 2021 : rebond de la vigueur
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Un taux de postes vacants record…malgré la pandémie!
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de février 2021 : rebond de la vigueur
Malgré une légère accalmie, le marché du travail québécois présentait en décembre 2020 un nombre élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois de décembre 2020.
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
En janvier 2021, le Québec a perdu 97 900 emplois pour atteindre 94,2 % du niveau d’emploi prépandémie (février 2020). La fermeture des commerces non essentiels décrétée par le gouvernement du Québec dès le 25 décembre est en grande partie responsable de ces pertes d’emplois.
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois de janvier 2021 par rapport à janvier 2020 (analyse sur un an).
En décembre 2020, le Québec a perdu 16 800 emplois pour atteindre 97,1 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier. Le mois précédent, le Québec avait enregistré un gain d’emplois du même ordre de grandeur (15 700), ce qui nuance le portrait.
Les travailleurs du principal groupe d’âge (25-54 ans) continuent d’être en bonne position avec un taux d’activité stable et un taux de chômage à la baisse. Cependant, plusieurs indicateurs restent inquiétants.
Après plusieurs mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec a connu un léger recul en décembre 2020. Il y a 88 500 emplois de moins au Québec comparativement à décembre 2019. Les services d’hébergement et restauration sont les plus touchés avec 96 000 emplois de moins sur un an. En parallèle, d’autres secteurs ont enregistré des gains..
Malgré la pandémie qui sévissait toujours, le marché du travail québécois présentait en octobre 2020 un nombre historiquement élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois d’octobre 2020.
Amorcée depuis la levée du premier confinement en juin dernier, la relance de l’emploi au Québec a toutefois ralenti depuis quelques mois. Les restrictions sanitaires mises en place en octobre ont été maintenues, et dans certains cas renforcés, atténuant ainsi la reprise observée au cours de l’été. Néanmoins, avec une création nette de 15 700 emplois, presque en totalité à temps plein, le Québec a récupéré près de 97,5 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier.
La reprise de l’emploi au Québec tourne au ralenti depuis deux mois. Assumant une grande partie des restrictions sanitaires liées à la COVID-19, le secteur de l’hébergement et de la restauration est loin de son niveau d’emploi observé en novembre 2019 (73 100 emplois de moins). Néanmoins, avec une création nette de 15 700 emplois, en grande majorité à temps plein, le Québec a récupéré 97 % du niveau d’emplois de février.
Alors qu’avant la pandémie les jeunes de 15 à 24 ans étaient plus que jamais sollicités par les employeurs pour intégrer le marché du travail, ce groupe d’âge s’avère actuellement le plus durement touché par la crise. Les données à ce chapitre sont sans équivoque : bien que les 15-24 ans ne représentent que 13 % des travailleurs du Québec, ce groupe populationnel a subi plus de la moitié (53,6 %) des pertes d’emplois survenues au Québec entre octobre 2019 et octobre 2020. Préoccupante, cette situation –et les écarts constatés avec les autres groupes d’âge– s’avèrent toutefois similaires en Ontario.
Après cinq mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec s’est stabilisée globalement. Une création d’emplois dans plusieurs secteurs a été annulée par la perte de près de 42 000 emplois dans le secteur d’hébergement et de la restauration.
Après cinq mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec s’est stabilisée globalement. Une création d’emplois dans plusieurs secteurs a été annulée par la perte de près de 42 000 emplois dans le secteur d’hébergement et de la restauration. Ces pertes d’emplois sont en grande majorité des emplois à temps partiel. Ces chiffres ne sont guère surprenants considérant l’annonce d’un confinement partiel du Québec au début octobre et la réduction majeure des activités dans la restauration. Néanmoins, le Québec n’est plus qu’à récupérer 107 000 emplois afin de revenir au niveau observé en octobre 2019 (près de 75 % de ces emplois à récupérer se situent dans le secteur de l’hébergement et de la restauration).
Depuis le mois de mai 2020, le nombre de chômeurs est en constante diminution. La reprise de l’emploi, importante dès les premières semaines qui ont suivi la réduction des mesures sanitaires, a depuis ralenti quelque peu.
La remontée de l’emploi amorcée en juin 2020 s’est confirmée en septembre. Avec 76 700 emplois créés en un mois, le Québec affiche une des meilleures performances au pays. Avec 7,4 %, le taux de chômage ressemble à celui observé en 2016.
Les chiffres d’emplois du mois d’août confirment une reprise solide de l’emploi au Québec. À 8,7 %, le taux de chômage de l’économie québécoise se compare assez favorablement à celui des autres provinces. Autre point positif, les emplois créés sont tous à temps plein, alors qu’ils étaient tous à temps partiel en juillet.
Avec 54 000 personnes de plus à l’emploi le mois dernier, le marché du travail au Québec prend du mieux. Bien que cette croissance du nombre d’emplois soit plus faible qu’en juillet, les emplois créés ou récupérés en août sont tous à temps plein. De plus, le commerce de détail et de gros retrouve des niveaux d’emplois semblables à ceux de l’an dernier.
La forte reprise de l’emploi au Québec après le choc de la pandémie ne permettra pas de pleinement rattraper, en 2021, le taux d’emploi de 2019. Il restera un écart important à combler pour retrouver un marché du travail en aussi bonne santé qu’avant la crise.
Depuis trois mois, la création et la récupération d’emploi au Québec est positive. Après un mois de mai et de juin au-dessus de 200 000 emplois, les chiffres de juillet sont moins impressionnants. La reprise économique post-COVID 19 après un départ agressif, a peut-être ralentie.
Après un mois de juin qui laissait entrevoir une reprise de l’emploi robuste, celle-ci a ralenti au cours du mois de juillet. Avec 98 000 emplois créés (ou récupérés) en juillet (248 000 le mois précédent), il y a toujours 208 000 emplois de moins qu’en juillet 2019. De plus, l’ensemble des emplois créés ou récupérés sont des emplois à temps partiel. Toutefois, il s’agit d’un troisième mois positif de suite, ce qui laisse entendre que le Québec est sur la voie de la reprise. Le secteur de l’hébergement et de la restauration demeure le plus durement touché par la crise de la COVID-19.
Le rebond semble bien amorcé. Les chiffres de juin confirment que le marché du travail au Québec récupère tranquillement les pertes occasionnées par la crise de la COVID-19. Près de 60 % des emplois perdus en mars et en avril ont été récupérés.
Le Québec amorce une remontée vers la situation qui prévalait avant la crise causée par la COVID-19. Avec 248 000 emplois créés (ou récupérés) en juin, c’est tout de même encore 289 000 emplois de moins que l’an dernier.
Sommes-nous entrain d’observer un rebond? Les chiffres de mai pour le Québec de l’Enquête sur la population active (EPA) de Statistique Canada sont meilleurs que ceux espérés.
Si la crise de la COVID-19 a modifié en profondeur le marché de l’emploi au Québec avec un mois d’avril 2020 catastrophique, un rebond semble en cours. Des 778 300 emplois perdus le mois dernier, l’économie québécoise a récupéré plus de 200 000 emplois le mois dernier.
Entre février 2020 et avril 2020:
le taux de chômage a augmenté de 12,5 points de pourcentage, passant de 4,5 % à 17 %. Le nombre de chômeurs s’élève aujourd’hui à 729 400 personnes (204 700 personnes en février) au Québec;
le taux d’emploi des 25-54 ans a diminué de 12,5 points de pourcentage, passant de 85,7% à 73,2 %
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois d’avril 2020 par rapport à avril 2019 (analyse sur un an).
La crise de la COVID-19 a modifié en profondeur le marché de l’emploi au Québec. D’un des plus vigoureux au Canada, il est maintenant dans une situation critique avec une montée spectaculaire du chômage.
Cette analyse est basée sur la semaine du 12 au 18 avril, au cœur des mesures de confinement.
Dans le cadre de la crise de la COVID-19, l’Institut du Québec a produit une analyse plus détaillée des chiffres mensuels en lien avec son indice mensuel de l’emploi pour le mois de mars 2020 par rapport à mars 2019 (analyse sur un an). afin de capter les changements profonds survenus en mars dans le marché de l’emploi au Québec. Le document en pièce jointe se concentre sur les personnes qui ne sont pas comprises dans les chiffres de chômage officiels mais qui subissent les conséquences de la crise actuelle.
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois de mars 2020 par rapport à mars 2019 (analyse sur un an).
La vigueur du marché du travail demeure en progression sur un an
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois de janvier 2020 par rapport à janvier 2019 (analyse sur un an).
La vigueur du marché du travail : en progression
Entre 2015 et 2019, l’économie québécoise a créé au net plus de 280 000 emplois. Cinq ans de création d’emploi qui confirment un marché du travail influencé par une croissance économique vigoureuse mais aussi par un changement structurel dû au vieillissement de la population.
L’économie québécoise performe exceptionnellement bien depuis trois ans. Plusieurs indicateurs en témoignent : croissance annuelle supérieure à 2 %, taux de chômage autour de 6 %, surplus budgétaires importants. Par rapport aux 20 dernières années, le Québec s’améliore indéniablement.
Cette étude se concentre sur l’importance de l’enseignement de qualité et de l’encadrement stratégique de la ressource la plus précieuse de tout système d’éducation : l’enseignant. Elle s’appuie sur une revue de la littérature et des meilleures pratiques canadiennes et internationales, ainsi qu’une série d’entrevues menées auprès de divers acteurs du milieu de l’éducation.
Le marché du travail québécois est non seulement en pleine mutation, mais il est confronté à des vents contraires. Alors que les départs massifs à la retraite des baby-boomers entraînent des besoins de main-d’œuvre croissants, les préoccupations face aux impacts des changements technologiques sur les travailleurs les plus vulnérables se multiplient. Ces changements viennent bouleverser les façons de faire établies et remettent en cause les paradigmes actuels.
Dans ce rapport, nous évaluons les incidences démographiques et économiques de différents scénarios d’immigration sur une période s’échelonnant de 2019 à 2040 afin d’alimenter la réflexion et les politiques d’immigration du Québec. Bien que nos analyses soient principalement d’ordre économique, nous sommes conscients que ces dernières ne représentent qu’une facette d’une réalité beaucoup plus complexe, qui inclut d’autres facteurs cruciaux comme l’intégration sociale et culturelle des immigrants.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour décembre 2018
L’arrivée d’un nouveau gouvernement à Québec entraîne un changement de cap économique qui s’articule principalement autour de deux priorités : rattraper le retard de richesse que le Québec accuse sur l’Ontario et y accroître le nombre d’emplois bien rémunérés. Pour alimenter la réflexion autour de ces enjeux, l’Institut du Québec (IdQ) propose aujourd’hui une note de recherche intitulée Plus d’emplois bien rémunérés, est-ce possible? Analyse des écarts salariaux entre le Québec et l’Ontario. Par cette analyse, nous cherchions d’abord à valider si les enjeux identifiés par le nouveau gouvernement correspondaient à de réels défis pour le Québec et à mieux comprendre où se situent les écarts salariaux entre le Québec et l’Ontario. Ainsi, il nous apparaissait essentiel d’avoir un portait clair des enjeux afin de tabler sur les bonnes cibles et de mettre les meilleures actions en place.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour novembre 2018
Indice de l’emploi de l’IDQ pour octobre 2018
Indice de l’emploi de l’IDQ pour septembre 2018
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois d’août 2018
En 2016, l’Institut du Québec (IdQ) a publié un rapport qui démontrait l’enjeu majeur de l’intégration des immigrants au Québec. Deux ans plus tard, les données indiquent que la situation a changé, notamment en raison du resserrement généralisé du marché du travail. Nous estimons qu’une mise à jour des données et une clarification des concepts-clés s’impose afin d’alimenter le débat public.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour juillet 2018