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Rapport Comparer Montréal –5e édition Première de classe pour sa qualité de vie, mais des défis à relever pour propulser son économie L’Institut du Québec (IDQ) publie une nouvelle édition de son étude Comparer Montréal réalisée en collaboration avec la Chambre […]
La performance du secteur manufacturier québécois exige de rehausser les compétences des gestionnaires et des travailleurs. Il faut investir davantage afin d’affronter les difficultés de recrutement et les impératifs environnementaux que connaissent les PME.
En se fondant sur un cadre de référence rigoureux et des paramètres reconnus à l’international, la Grille ÉCO+ a été conçue tant pour les entreprises qui amorcent une démarche de développement durable que pour les décideurs publics qui doivent évaluer les demandes de soutien ou les propositions de fournisseurs en considérant des facteurs autres que les critères financiers traditionnels.
Rapport Le rôle stratégique du tourisme pour le développement économique : Le cas du Grand Montréal Le tourisme est une industrie très importante pour le Québec : avec ses 135 900 emplois, il représente environ 2 % du PIB, autant […]
La Loi sur la réduction de l’inflation des États-Unis – Des impacts pour l’économie verte du Québec
Cette édition des Signes vitaux, publiée par la FGM et Centraide du Grand Montréal en collaboration avec l’Institut du Québec, se veut un état de la situation du logement dans le Grand Montréal. Plus spécifiquement, notre étude examine les deux variables clés que sont l’accessibilité et l’abordabilité des logements. Elle comprend également une cartographie des secteurs et des groupes les plus vulnérables face aux tendances économiques et immobilières actuelles.
Le contexte énergétique mondial évoluera de façon marquée dans les années à venir, tant en raison des transformations structurelles des économies, renforcées par la pandémie de COVID-19, que des objectifs de réduction des gaz à effet de serre auxquels se sont engagés la plupart des pays dans leurs efforts pour contrer le réchauffement climatique.
La création d’emplois dans le secteur des technologies de l’information (TI) s’est accélérée plus rapidement à Montréal que dans plusieurs autres métropoles nord-américaines au cours de la pandémie, mais des défis majeurs se profilent à l’horizon alors que la ville fait face à une concurrence de plus en plus vive pour attirer talents, entreprises et investissements.
Soumises à une pression croissante, les entreprises devront de plus en plus intégrer les notions en responsabilité sociale d’entreprise (RSE) dans leurs pratiques d’affaires. Les experts sont unanimes : les prochaines années et décennies seront assurément marquées par un virage incontournable en matière de pratiques de RSE.
Quelles sont les obligations des entreprises envers la société et la planète? Voilà une question qui occupe aujourd’hui un espace croissant dans les débats publics. Les enjeux environnementaux, les préoccupations de la jeune génération et la pandémie de la COVID-19 ont insufflé une intensité nouvelle à ces thèmes.
Si le phénomène de la déconsommation était sur les radars des experts marketing depuis plusieurs années, la pandémie l’aurait amplifiée en imposant la plus grande expérience planétaire de déconsommation jamais imaginée.
Note d’analyse Mise à jour : Aérospatiale – Un an après la pandémie, les besoins sont encore plus importants Téléchargez la note d’analyse en français (PDF) Téléchargez la note d’analyse en anglais (PDF) Les deux rapports sur l’aérospatiale publiés […]
La crise de la COVID-19 a créé des conditions très difficiles pour les entreprises du Québec. La récession dans laquelle le Québec et le monde sont entrés est exceptionnelle par son ampleur et la vitesse à laquelle elle est survenue. Plusieurs entreprises ont dû se départir d’employés. D’autres ont annulé des projets.
Le début de cette décennie marque l’occasion de constater les forces et faiblesses, ainsi que les progrès et difficultés de Montréal, qu’ils soient nouveaux ou présents depuis longtemps.
Pendant des décennies, les politiques économiques des gouvernements ont été conçues en fonction de la création d’emploi et de la réduction du taux de chômage. Mais cet enjeu ne peut plus être un objectif ou une mesure de succès parce que nous sommes en présence d’un changement de paradigme où, en raison de facteurs démographiques, le Québec et le Canada connaissent une réduction naturelle de leur taux de chômage et sont confrontés à des pénuries de main-d’œuvre qui compromettent la croissance économique. Ce thème a été abordé de nombreuses fois par l’Institut du Québec (IDQ).
La pauvreté est-elle une fatalité ? L’est-elle plus au Québec qu’ailleurs ? Dans une société qui a besoin des talents de tous, la pauvreté est plus qu’un drame individuel : c’est une responsabilité collective. Cette responsabilité impose de comprendre la réalité de la pauvreté au Québec, mais aussi les leviers disponibles pour s’en sortir.
En 2017, moins d’un pourcent des exportations totales du Québec étaient destinées aux pays de l’Afrique francophone. Malgré ce constat, la diversification des relations commerciales du Québec pourrait bien passer en partie par les marchés émergents de l’Afrique francophone. La croissance démographique et économique de cette région du monde présente plusieurs occasions d’affaires. À cet effet, le Québec a un principal atout : la connaissance de la langue parlée par bon nombre des habitants de l’Afrique francophone. Si le faible poids des pays de l’Afrique francophone dans les échanges commerciaux du Québec fait en sorte qu’un développement spectaculaire des échanges avec ceux-ci n’est pas envisageable, il demeure que l’augmentation des échanges avec ces marchés aiderait à diversifier les exportations du Québec.
Pour le Québec, les choix passés en matière énergétique constituent des atouts puisque la presque totalité de l’électricité produite au Québec est renouvelable et ne constitue donc pas une source significative de gaz à effet de serre (GES).
La tendance internationale, incarnée par l’Accord de Paris, exerce des pressions supplémentaires pour inciter les compagnies à passer à l’action et à réduire leurs émissions. En vertu de l’article 2, l’Accord de Paris définit en quelque sorte l’économie sobre en carbone dans sa définition des parties signataires : [les parties s’engagent à rendre] les flux financiers compatibles avec un profil d’évolution vers un développement à faibles émissions de gaz à effet de serre et résilient aux changements climatiques.
Les dernières années furent des années positives au chapitre de l’économie et de l’emploi pour la région montréalaise. Si Montréal a perdu sa place comme pôle économique à l’échelle canadienne dans les années 1960 et 1970 et connu une période sombre dans les années 1980, un renouveau montréalais semble amorcé, grâce à la présence d’industries de pointe et à une croissance économique soutenue. Montréal est perçue comme une place de choix pour vivre et travailler. Plusieurs entreprises et talents y migrent entre autres pour cette raison.
La plupart des tests internationaux indiquent que le système éducatif québécois se compare favorablement aux provinces canadiennes et aux pays de l’OCDE. Compte tenu du retard de scolarisation du Québec dans les années 1960, il faut saluer ces succès indéniables. Toutefois, malgré les progrès importants réalisés depuis les réformes découlant du Rapport Parent, un problème majeur persiste : le taux de diplomation dans les écoles publiques québécoises est encore très faible, et surtout il stagne depuis plusieurs années.
Le Québec, comme bien des sociétés occidentales, est confronté à un problème démographique causé par plusieurs facteurs. Avec un taux de fécondité parmi les plus faibles (1,7 enfant par femme), le Québec ne renouvelle pas sa population
L’éducation est un levier dont le gouvernement peut se servir pour améliorer le niveau de vie de la population et la compétitivité de l’économie. Pour accomplir sa mission, le système éducatif doit être bien ancré dans la réalité mondialisée d’aujourd’hui. Le besoin d’innover se fait sentir à plusieurs niveaux et la concrétisation de ce besoin permettrait d’améliorer d’un cran le système éducatif. Nous recensons donc les meilleures pratiques innovantes en éducation à l’échelle internationale en nous appuyant sur des recherches approfondie
À l’heure actuelle, les commerçants qui n’ont pas pignon sur rue au Québec ne sont pas tenus de facturer les taxes québécoises lorsqu’ils vendent des biens ou des services en ligne. Il revient donc aux consommateurs d’autodéclarer leurs achats. Un système qui ne fonctionne manifestement pas à en constater le faible montant des taxes recueillies. Chaque année, de 100 à 300 M$ en taxes diverses échapperaient ainsi à Revenu Québec, selon certaines estimations publiées ces dernières années. Avec la croissance exponentielle des achats en ligne, ce chiffre risque d’augmenter substantiellement.
Une société où le revenu est concentré d’une génération à l’autre chez les mêmes citoyens n’est pas une société en bonne santé. À l’autre extrême, une société où le revenu de chacun est totalement égal n’est généralement pas productive. Entre ces deux extrêmes, où se situe le Québec?
Au cours des trois dernières années, les changements survenus en matière de développement économique local au Québec ont obligé les villes québécoises à redéfinir la façon dont elles interviennent dans ce domaine. De nombreuses villes nord-américaines ont obtenu un franc succès en matière de développement économique. Six villes sont analysées à cet égard dans ce rapport : Boulder (CO), Loveland (CO), Aurora (Ont.), Charleston (WV), Georgetown (SC) et Waterloo (Ont.).
La croissance économique du Québec sera plus modeste au cours des prochaines années, ce qui plombera la capacité fiscale du gouvernement. Parallèlement, le taux de croissance « naturel » des dépenses de santé, qui se situe autour de 5,2 % selon le Conference Board du Canada, dépassera la capacité de payer du système public de santé. Afin de contrôler le taux de croissance de ces dépenses et de maintenir l’équilibre budgétaire, le réseau de la santé du Québec devrait envisager de nouvelles façons d’intégrer l’innovation en santé, qu’elle soit médicale, pharmaceutique ou procédurale.
oncours pour améliorer la sécurité informatique du Pentagone, hackathons pour inventer le « J’aime » et la page d’accueil de Facebook, intermédiations pour développer de nouveaux polymères et permettre le vote des allophones et des malvoyants, défis compétitifs pour envoyer des gens dans l’espace et contribuer à l’émergence de l’industrie privée de l’espace aux États-Unis, approvisionnement prémarché pour accélérer la vaccination en cas de pandémie…
Le manque de prospérité et la persistance de besoins indiquent que notre infrastructure de développement est inefficiente. La capacité d’améliorer la productivité fait aussi défaut, le pays continuant « de fermer la marche dans le classement du groupe de pays comparables en matière d’innovation.
À cause du vieillissement de sa population, Montréal a perdu 10 % de son bassin de travailleurs natifs potentiels depuis 10 ans. Dans ce contexte, la contribution des immigrants au marché du travail montréalais est essentielle. Une part plus faible de la population montréalaise est issue de l’immigration, comparativement à Toronto et à Vancouver. Le niveau de diplomation universitaire des immigrants montréalais est plus élevé que celui des natifs, alors que c’est plutôt l’inverse dans 13 des 16 autres villes étudiées.
Dans cette deuxième édition du tableau de bord de l’IdQ, la région métropolitaine de Montréal est également comparée aux 14 mêmes villes d’Amérique du Nord, selon les 29 mêmes indicateurs portant sur la vitalité économique, le capital humain, l’innovation, la qualité de vie et l’attractivité. D’après les résultats de l’édition 2016 du tableau de bord de la région métropolitaine de Montréal, la métropole québécoise connaît :
En 2017, le Québec et l’Europe seront économiquement plus proches. La signature de l’Accord économique et commercial global (AECG) avec l’Union européenne (UE) va considérablement resserrer les liens entre les deux économies. Rappelons que le Québec est une économie résolument tournée vers l’exportation qui a besoin d’avoir accès aux marchés extérieurs pour poursuivre sa croissance. L’AECG est un accord de 2e génération, c’est-à-dire qu’il va au-delà des simples mécanismes de réduction des tarifs douaniers.
Rapport Le commerce en ligne au Québec : passer du retard à la croissance Téléchargez le rapport (PDF) Sur les 6,6 G$ d’achats en ligne que font les Québécois chaque année, seulement 1,7 G$ de produits et services sont vendus […]
Montréal montre des signes intéressants quant à sa croissance économique, mais continue d’accuser un retard sur la majorité des villes nord-américaines de taille semblable en matière d’activité économique.
L’industrie agroalimentaire québécoise fait bien plus que nourrir les Québécois. Elle a une incidence économique sur presque tous les secteurs industriels, principalement les secteurs manufacturier, du transport, et du commerce, ce qui en fait un puissant levier de développement économique pour le Québec.
En 2012, 67 % de l’énergie consommée au Québec était consacrée à des usages industriels, commerciaux ou institutionnels. La manière dont les entreprises et les organisations gèrent l’énergie a donc un impact global majeur. La gestion de l’énergie a encore un caractère trop opérationnel, alors que l’enjeu devient de plus en plus stratégique dans la nouvelle réalité des marchés.
En 2013, l’empreinte économique totale du secteur des fonds communs de placement, qui comprend les retombées sur la chaîne d’approvisionnement et
les effets induits, se chiffrait à 1,8 G$. Au total, 18 211 emplois au Québec étaient soutenus par ce secteur qui apportait 1,4 G$ en revenu primaire des ménages, 235 M$ en bénéfices des sociétés, et 435 M$ en revenus additionnels au gouvernement provincial.
La contribution de la région métropolitaine de Montréal au PIB, aux recettes fiscales, aux investissements directs étrangers et aux brevets déposés dépasse son poids démographique.Il existe un lien de convergence entre la croissance de Montréal et celle du reste du Québec : la performance économique de Montréal « tire » celle du reste du Québec. Cet « effet locomotive » de Montréal est le deuxième en importance de toutes les grandes villes du Canada.Montréal sous-performe en matière de croissance, démographie, innovation, taux de diplomation universitaire, déménagements d’entreprises et revenu par habitant.Si Montréal avait connu une croissance économique équivalente à la moyenne canadienne au cours des 25 dernières années, l’économie du Québec serait beaucoup plus vigoureuse, même en dehors des régions métropolitaines, où le PIB par habitant serait plus élevé de 2 780 $.