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Pourra-t-on réduire l’immigration temporaire ?
Simulations des besoins énergétiques pour électrifier les bâtiments et les transports au Québec
Cette analyse vise à mieux comprendre le cadre financier dans lequel le gouvernement du Québec devra évoluer au cours des prochaines années ainsi que les défis auxquels il devra faire face.
Nous avons analysé le parcours des étudiants étrangers (qui représentent près de la moitié des résidents temporaires au Québec), de leur acceptation par un établissement d’enseignement québécois à l’admission à la résidence permanente pour certains, et identifié de nombreuses incohérences dans les politiques et les programmes les encadrant.
L’année 2023 : moins de pénuries sur le marché de l’emploi
L’IDQ a soumis un mémoire dans le cadre des consultations prébudgétaires 2024-2025.
Rapport Comparer Montréal –5e édition Première de classe pour sa qualité de vie, mais des défis à relever pour propulser son économie L’Institut du Québec (IDQ) publie une nouvelle édition de son étude Comparer Montréal réalisée en collaboration avec la Chambre […]
En se fondant sur un cadre de référence rigoureux et des paramètres reconnus à l’international, la Grille ÉCO+ a été conçue tant pour les entreprises qui amorcent une démarche de développement durable que pour les décideurs publics qui doivent évaluer les demandes de soutien ou les propositions de fournisseurs en considérant des facteurs autres que les critères financiers traditionnels.
Nous avons analysé le parcours des étudiants étrangers (qui représentent près de la moitié des résidents temporaires au Québec), de leur acceptation par un établissement d’enseignement québécois à l’admission à la résidence permanente pour certains, et identifié de nombreuses incohérences dans les politiques et les programmes les encadrant.
C’est dans cet esprit que l’Institut du Québec, dans ce mémoire prébudgétaire, propose des recommandations qui permettraient de bâtir cet avenir pour le Québec:
La Loi sur la réduction de l’inflation des États-Unis – Des impacts pour l’économie verte du Québec
Cette édition du Bilan de l’emploi met en évidence des transformations en profondeur du marché du travail québécois. Afin de porter un regard judicieux sur une nouvelle réalité, l’IDQ propose une attention particulière aux déséquilibres du marché de l’emploi et à leurs facteurs déterminants.
Retenir un peu plus longtemps les Québécois qui approchent la retraite et faire revenir ceux qui ont déjà fait le saut : voilà certaines des pistes de solution mises de l’avant par les entreprises et les gouvernements pour faire face aux pénuries de main-d’œuvre qui sévissent un peu partout au Québec. Mais tout comme l’immigration ou l’automatisation, le recours aux travailleurs plus âgés n’est pas une solution magique. Afin de traverser la prochaine décennie, qui comptera plus de départs à la retraite que de jeunes entamant leur carrière, c’est une multitude de mesures qu’il faudra mettre en place. Et pour qu’elles soient efficaces, il est essentiel d’évaluer correctement le potentiel de chacune et d’identifier les défis à sa mise en œuvre.
En raison des récents développements du marché du travail et des changements apportés à certaines approches de la politique d’immigration, cette note de recherche vise à brosser un portrait plus à jour de l’immigration et à formuler des recommandations afin d’améliorer les stratégies d’attraction, d’intégration et de rétention des immigrants au Québec.
Les écarts de revenus entre les hommes et les femmes qui ont un parcours similaire et qui travaillent à temps plein, s’élèvent en moyenne à 9 % et ce, dès la première année suivant l’obtention de leur diplôme postsecondaire
Le contexte énergétique mondial évoluera de façon marquée dans les années à venir, tant en raison des transformations structurelles des économies, renforcées par la pandémie de COVID-19, que des objectifs de réduction des gaz à effet de serre auxquels se sont engagés la plupart des pays dans leurs efforts pour contrer le réchauffement climatique.
Simulations de long terme des dépenses et des revenus du gouvernement du Québec.
Notre analyse démontre que le marché du travail québécois s’est presqu’entièrement remis des dommages causés par les premières vagues de la pandémie. Mais la crise sanitaire a tout de même exacerbé certaines faiblesses et fait ressortir de nouveaux défis.
C’est dans cet esprit que l’Institut du Québec, dans ce mémoire prébudgétaire, propose des recommandations qui permettraient de bâtir cet avenir pour le Québec:
L’Institut du Québec souhaite contribuer à la réflexion nécessaire au sujet de l’intégration des risques climatiques dans les finances publiques et le processus budgétaire. Une feuille de route est proposée pour identifier les éléments les plus pressants ou prometteurs afin de lancer les travaux nécessaires dans l’administration publique.
La création d’emplois dans le secteur des technologies de l’information (TI) s’est accélérée plus rapidement à Montréal que dans plusieurs autres métropoles nord-américaines au cours de la pandémie, mais des défis majeurs se profilent à l’horizon alors que la ville fait face à une concurrence de plus en plus vive pour attirer talents, entreprises et investissements.
L’Institut du Québec, la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, le Comité des politiques publiques de l’Association des économistes québécois et le CIRANO se sont mobilisés.
Soumises à une pression croissante, les entreprises devront de plus en plus intégrer les notions en responsabilité sociale d’entreprise (RSE) dans leurs pratiques d’affaires. Les experts sont unanimes : les prochaines années et décennies seront assurément marquées par un virage incontournable en matière de pratiques de RSE.
Combien gagnent les Québécois? Quel est le véritable portrait de la situation? Comment se compare véritablement le Québec avec l’Ontario? Quels sont les écarts salariaux entre les deux provinces?
Quelles sont les obligations des entreprises envers la société et la planète? Voilà une question qui occupe aujourd’hui un espace croissant dans les débats publics. Les enjeux environnementaux, les préoccupations de la jeune génération et la pandémie de la COVID-19 ont insufflé une intensité nouvelle à ces thèmes.
Si le phénomène de la déconsommation était sur les radars des experts marketing depuis plusieurs années, la pandémie l’aurait amplifiée en imposant la plus grande expérience planétaire de déconsommation jamais imaginée.
La pandémie de COVID-19 a mis en relief les graves carences dans la prise en charge des personnes âgées hébergées dans les Centres d’hébergement et de soins de longue durée, les CHSLD.
La crise sanitaire a non seulement créé de nouveaux bassins de chômeurs et poussé de nombreuses personnes vers l’inactivité, mais elle a aussi exacerbé les besoins de main-d’œuvre dans certaines industries
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Après plusieurs années de surplus budgétaires, le gouvernement du Québec a annoncé en juin 2020 un déficit record de 14,9 G$ pour l’année en cours. Ce déficit a évidemment été causé par la première vague de la COVID-19 et l’arrêt de l’économie qu’elle a suscité.
La crise de la COVID-19 a créé des conditions très difficiles pour les entreprises du Québec. La récession dans laquelle le Québec et le monde sont entrés est exceptionnelle par son ampleur et la vitesse à laquelle elle est survenue. Plusieurs entreprises ont dû se départir d’employés. D’autres ont annulé des projets.
La forte reprise de l’emploi au Québec après le choc de la pandémie ne permettra pas de pleinement rattraper, en 2021, le taux d’emploi de 2019. Il restera un écart important à combler pour retrouver un marché du travail en aussi bonne santé qu’avant la crise.
Pendant des décennies, les politiques économiques des gouvernements ont été conçues en fonction de la création d’emploi et de la réduction du taux de chômage. Mais cet enjeu ne peut plus être un objectif ou une mesure de succès parce que nous sommes en présence d’un changement de paradigme où, en raison de facteurs démographiques, le Québec et le Canada connaissent une réduction naturelle de leur taux de chômage et sont confrontés à des pénuries de main-d’œuvre qui compromettent la croissance économique. Ce thème a été abordé de nombreuses fois par l’Institut du Québec (IDQ).
Au cours des six dernières années, le Québec a opéré un revirement remarquable de ses finances publiques. Grâce à la convergence de plusieurs facteurs, le Québec a maintenu le rythme de désendettement relatif le plus rapide de son histoire moderne entre 2013 et 2019. Les cibles fixées en 2010 sont atteintes ou en voie de l’être avant l’échéance.
Que faire maintenant ? Cette étude se penche sur cinq scénarios – la continuation du statu quo et quatre alternatives – et analyse leurs impacts à l’horizon 2029–2030.
Entre 2015 et 2019, l’économie québécoise a créé au net plus de 280 000 emplois. Cinq ans de création d’emploi qui confirment un marché du travail influencé par une croissance économique vigoureuse mais aussi par un changement structurel dû au vieillissement de la population.
L’économie québécoise performe exceptionnellement bien depuis trois ans. Plusieurs indicateurs en témoignent : croissance annuelle supérieure à 2 %, taux de chômage autour de 6 %, surplus budgétaires importants. Par rapport aux 20 dernières années, le Québec s’améliore indéniablement.
Cette étude se concentre sur l’importance de l’enseignement de qualité et de l’encadrement stratégique de la ressource la plus précieuse de tout système d’éducation : l’enseignant. Elle s’appuie sur une revue de la littérature et des meilleures pratiques canadiennes et internationales, ainsi qu’une série d’entrevues menées auprès de divers acteurs du milieu de l’éducation.
Ce rapport a pour but de proposer un cadre d’analyse pour interpréter les résultats à venir, et pour définir des critères permettant d’établir un niveau de revenu souhaitable pour les médecins.
Chaque année, en collaboration avec Montréal International (MI) et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), l’Institut du Québec (IDQ) compare Montréal avec 14 villes nord-américaines de taille et d’importance semblable. À la suite de bonnes années de croissance économique, l’IDQ a aussi voulu vérifier si Montréal, comme en 2014, était toujours une région qui avait une importance économique plus élevée que son poids démographique au Québec.
Le marché du travail québécois est non seulement en pleine mutation, mais il est confronté à des vents contraires. Alors que les départs massifs à la retraite des baby-boomers entraînent des besoins de main-d’œuvre croissants, les préoccupations face aux impacts des changements technologiques sur les travailleurs les plus vulnérables se multiplient. Ces changements viennent bouleverser les façons de faire établies et remettent en cause les paradigmes actuels.
Dans ce rapport, nous évaluons les incidences démographiques et économiques de différents scénarios d’immigration sur une période s’échelonnant de 2019 à 2040 afin d’alimenter la réflexion et les politiques d’immigration du Québec. Bien que nos analyses soient principalement d’ordre économique, nous sommes conscients que ces dernières ne représentent qu’une facette d’une réalité beaucoup plus complexe, qui inclut d’autres facteurs cruciaux comme l’intégration sociale et culturelle des immigrants.
La pauvreté est-elle une fatalité ? L’est-elle plus au Québec qu’ailleurs ? Dans une société qui a besoin des talents de tous, la pauvreté est plus qu’un drame individuel : c’est une responsabilité collective. Cette responsabilité impose de comprendre la réalité de la pauvreté au Québec, mais aussi les leviers disponibles pour s’en sortir.
En 2017, moins d’un pourcent des exportations totales du Québec étaient destinées aux pays de l’Afrique francophone. Malgré ce constat, la diversification des relations commerciales du Québec pourrait bien passer en partie par les marchés émergents de l’Afrique francophone. La croissance démographique et économique de cette région du monde présente plusieurs occasions d’affaires. À cet effet, le Québec a un principal atout : la connaissance de la langue parlée par bon nombre des habitants de l’Afrique francophone. Si le faible poids des pays de l’Afrique francophone dans les échanges commerciaux du Québec fait en sorte qu’un développement spectaculaire des échanges avec ceux-ci n’est pas envisageable, il demeure que l’augmentation des échanges avec ces marchés aiderait à diversifier les exportations du Québec.
Pour le Québec, les choix passés en matière énergétique constituent des atouts puisque la presque totalité de l’électricité produite au Québec est renouvelable et ne constitue donc pas une source significative de gaz à effet de serre (GES).
La tendance internationale, incarnée par l’Accord de Paris, exerce des pressions supplémentaires pour inciter les compagnies à passer à l’action et à réduire leurs émissions. En vertu de l’article 2, l’Accord de Paris définit en quelque sorte l’économie sobre en carbone dans sa définition des parties signataires : [les parties s’engagent à rendre] les flux financiers compatibles avec un profil d’évolution vers un développement à faibles émissions de gaz à effet de serre et résilient aux changements climatiques.
Les dernières années furent des années positives au chapitre de l’économie et de l’emploi pour la région montréalaise. Si Montréal a perdu sa place comme pôle économique à l’échelle canadienne dans les années 1960 et 1970 et connu une période sombre dans les années 1980, un renouveau montréalais semble amorcé, grâce à la présence d’industries de pointe et à une croissance économique soutenue. Montréal est perçue comme une place de choix pour vivre et travailler. Plusieurs entreprises et talents y migrent entre autres pour cette raison.
La plupart des tests internationaux indiquent que le système éducatif québécois se compare favorablement aux provinces canadiennes et aux pays de l’OCDE. Compte tenu du retard de scolarisation du Québec dans les années 1960, il faut saluer ces succès indéniables. Toutefois, malgré les progrès importants réalisés depuis les réformes découlant du Rapport Parent, un problème majeur persiste : le taux de diplomation dans les écoles publiques québécoises est encore très faible, et surtout il stagne depuis plusieurs années.
Le Québec fait face à un choc démographique. Le taux de chômage est à son plus bas niveau, en raison notamment de nombreux départs à la retraite. Par ricochet, certains secteurs de l’économie québécoise vivent des situations de pénurie. L’une des solutions est une politique d’immigration adaptée qui a pour but de retenir et d’intégrer les nouveaux arrivants. Malheureusement, au Québec, le taux de chômage des immigrants est systématiquement plus élevé que celui des personnes nées ici. Si cet écart tend à diminuer avec le temps, force est de constater qu’il existe au Québec des barrières à l’intégration des immigrants sur le marché du travail.
Un million de travailleurs auront pris leur retraite entre 2015 et 2024 au Québec, tandis qu’il y aura 140 000 travailleurs de moins pour 630 000 retraités de plus en 2030. Sans effort supplémentaire pour atténuer ces risques démographiques et pour augmenter la productivité, le PIB potentiel du Québec baissera de 0,7 % ou 1 %. En même temps, deux phénomènes externes au Québec influenceront le portrait de la main-d’oeuvre : l’automatisation et la robotisation, ainsi que les nouveaux modèles d’affaires.