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Le Québec, qui a vu sa propre situation budgétaire se dégrader, espère voir les transferts fédéraux augmenter pour combler une partie de l’écart budgétaire à résorber. La situation financière beaucoup plus serrée du fédéral et ses choix budgétaires vont rendre plus difficile l’augmentation des transferts aux provinces.
Le Québec, qui a vu sa propre situation budgétaire se dégrader, espère voir les transferts fédéraux augmenter pour combler une partie de l’écart budgétaire à résorber. La situation financière beaucoup plus serrée du fédéral et ses choix budgétaires vont rendre plus difficile l’augmentation des transferts aux provinces.
Cette analyse vise à mieux comprendre le cadre financier dans lequel le gouvernement du Québec devra évoluer au cours des prochaines années ainsi que les défis auxquels il devra faire face.
L’IDQ a soumis un mémoire dans le cadre des consultations prébudgétaires 2024-2025.
Note d’analyse Des idées pour 2024 Et éviter que le Québec prenne du retard Cette note propose des pistes de réflexion basées sur les études récentes de l’Institut du Québec pour inspirer des politiques publiques qui permettraient de mieux préparer […]
Note d’analyse Le point sur la situation économique et financière du Québec Un moment charnière pour les finances publiques du Québec Dans la mise à jour qu’il dépose chaque automne, le ministère des Finances du Québec fait le point sur […]
C’est dans cet esprit que l’Institut du Québec, dans ce mémoire prébudgétaire, propose des recommandations qui permettraient de bâtir cet avenir pour le Québec:
Chaque année, l’Institut du Québec (IDQ) propose un mémoire pré budgétaire qui vise à mettre en relief des enjeux ou des priorités susceptibles d’inspirer le ministère des Finances du Québec dans l’élaboration de son budget ainsi que des simulations de long terme sur les revenus et les dépenses du gouvernement. En contrepartie, l’IDQ n’a pas l’habitude de produire de mémoire ou d’analyse portant spécifiquement sur les mises à jour économique et financière, habituellement déposées à l’automne.
Au lendemain du dépôt du budget du Québec 2022-223, l’Institut du Québec vous propose son analyse.
Simulations de long terme des dépenses et des revenus du gouvernement du Québec.
C’est dans cet esprit que l’Institut du Québec, dans ce mémoire prébudgétaire, propose des recommandations qui permettraient de bâtir cet avenir pour le Québec:
L’Institut du Québec souhaite contribuer à la réflexion nécessaire au sujet de l’intégration des risques climatiques dans les finances publiques et le processus budgétaire. Une feuille de route est proposée pour identifier les éléments les plus pressants ou prometteurs afin de lancer les travaux nécessaires dans l’administration publique.
L’Institut du Québec, la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, le Comité des politiques publiques de l’Association des économistes québécois et le CIRANO se sont mobilisés.
La pandémie de COVID-19 a mis en relief les graves carences dans la prise en charge des personnes âgées hébergées dans les Centres d’hébergement et de soins de longue durée, les CHSLD.
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Lutter contre les inégalités pandémiques et accroître la productivité : mémoire de l’IDQ pour les consultations prébudgétaires du gouvernement du Québec 2021-2022
Les perturbations sociales et économiques sans précédent engendrées par la pandémie de la COVID-19 nous incitent, plus que jamais, à mettre de côté les différences et à unir nos forces et nos idées pour trouver des solutions nouvelles et créatives aux enjeux que nous vivons. C’est dans cet esprit de collaboration que le Comité des politiques publiques de l’Association des économistes québécois et l’Institut du Québec ont réuni une dizaine d’experts* pour réfléchir aux questions de finances publiques et proposer des solutions pragmatiques pour affronter les défis budgétaires du Québec.
Après plusieurs années de surplus budgétaires, le gouvernement du Québec a annoncé en juin 2020 un déficit record de 14,9 G$ pour l’année en cours. Ce déficit a évidemment été causé par la première vague de la COVID-19 et l’arrêt de l’économie qu’elle a suscité.
Au cours des six dernières années, le Québec a opéré un revirement remarquable de ses finances publiques. Grâce à la convergence de plusieurs facteurs, le Québec a maintenu le rythme de désendettement relatif le plus rapide de son histoire moderne entre 2013 et 2019. Les cibles fixées en 2010 sont atteintes ou en voie de l’être avant l’échéance.
Que faire maintenant ? Cette étude se penche sur cinq scénarios – la continuation du statu quo et quatre alternatives – et analyse leurs impacts à l’horizon 2029–2030.
Ce rapport a pour but de proposer un cadre d’analyse pour interpréter les résultats à venir, et pour définir des critères permettant d’établir un niveau de revenu souhaitable pour les médecins.
Le choc démographique a commencé à se faire sentir au Québec. Le potentiel de croissance économique s’en trouve affecté. Paradoxalement, l’économie du Québec est sur une lancée : croissance économique plus forte et taux de chômage assez faible. Les revenus de l’État québécois sont au rendez-vous. Avec un contrôle rigoureux des dépenses, le Québec est en situation de surplus ou d’équilibre depuis trois ans. Selon les estimations du Conference Board du Canada et de l’Institut du Québec (IdQ), cette situation va encore perdurer au moins quelques années.
Le gouvernement du Québec a atteint l’équilibre budgétaire depuis deux ans. L’Institut du Québec se penche sur la pérennité de celui-ci dans un contexte de croissance économique limitée et de pression sur la croissance des dépenses en santé. Selon les prévisions de l’IdQ, le gouvernement a une marge financière suffisante pour augmenter les dépenses de santé de 4,2 % par année sans que cette croissance mette en péril l’équilibre du budget.
Les États jouent un rôle de stabilisation économique important. L’impact de cette intervention gouvernementale sur la croissance économique dépend des leviers choisis, de leur ampleur et de la période du cycle économique. Après avoir stimulé fortement l’économie entre 2007 et 2009, le gouvernement du Québec a amorcé en 2010 une période de restrictions budgétaires qui se poursuivra jusqu’en 2016. Entre 2003 et 2016, le gouvernement aura contribué à stimuler directement l’économie à hauteur de 3,5 G$.
Le portrait des finances publiques du Québec s’améliore grâce à de meilleures perspectives de croissance économique et au redressement des finances publiques actuellement en cours. Si le gouvernement parvient à mener à terme le redressement et à réduire la croissance de ses dépenses en santé de 5,2 % à 4,2 % de manière pérenne, le Québec pourra entrevoir la fin des budgets rédigés à l’encre rouge.
Le fardeau fiscal des entreprises au Québec est parmi les plus élevés en Amérique du Nord. Une réduction de l’aide fiscale aux entreprises accroîtrait cet écart, ce qui pourrait nuire à la compétitivité du Québec.
Le Québec fait face à des difficultés budgétaires et au vieillissement de sa population, mais il peut préserver l’essentiel de son contrat social s’il effectue des réformes ciblées. C’est la conclusion qui se dégage de la première étude de l’Institut du Québec intitulée Choc démographique et finances publiques : pour un contrat social durable . « Le Québec pourra atteindre et maintenir un équilibre budgétaire, si à court terme, le gouvernement résorbe le déficit budgétaire, et à moyen et long termes, adopte des réformes visant à réduire la croissance annuelle moyenne des dépenses de soins de santé. La bonne nouvelle, c’est qu’en concentrant nos efforts sur ces mesures, et en instaurant une discipline rigoureuse par lasuite, on assure la pérennité du contrat social du Québec, unique en Amérique du Nord », a expliqué Raymond Bachand,
président de l’Institut du Québec.