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Entre le troisième trimestre de 2019 et le troisième trimestre de 2021, six secteurs sont responsables de près de 80% de la croissance des postes vacants. Cependant les dynamiques à l’œuvre sont de deux types : alors que certains secteurs ne parviennent pas à attirer assez de travailleurs pour retrouver le niveau d’emploi d’avant la pandémie, d’autres ont largement dépassé ce niveau mais sont quand même aux prises avec une hausse importante des postes à pourvoir.
La création d’emplois dans le secteur des technologies de l’information (TI) s’est accélérée plus rapidement à Montréal que dans plusieurs autres métropoles nord-américaines au cours de la pandémie, mais des défis majeurs se profilent à l’horizon alors que la ville fait face à une concurrence de plus en plus vive pour attirer talents, entreprises et investissements.
L’Institut du Québec, la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, le Comité des politiques publiques de l’Association des économistes québécois et le CIRANO se sont mobilisés.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de novembre 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont hausse
Soumises à une pression croissante, les entreprises devront de plus en plus intégrer les notions en responsabilité sociale d’entreprise (RSE) dans leurs pratiques d’affaires. Les experts sont unanimes : les prochaines années et décennies seront assurément marquées par un virage incontournable en matière de pratiques de RSE.
Pour l’Institut du Québec (IDQ), qui a publié de nombreuses études sur ces enjeux et poursuit ses travaux sur cette problématique, cette orientation constitue une très bonne nouvelle. Par ces interventions, le gouvernement du Québec s’attaquera à un enjeu majeur pour l’économie et la société. En vue de la mise à jour économique qui viendra préciser les pistes d’intervention évoquées dans le discours inaugural et dont le dépôt est prévu pour le 25 novembre prochain.
Le taux d’emploi (86,1 %) tout comme le taux d’activité (90,1 %) des travailleurs du principal groupe d’âge (25 à 54 ans) atteignent des records en octobre 2021.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois d’octobre 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont hausse
Combien gagnent les Québécois? Quel est le véritable portrait de la situation? Comment se compare véritablement le Québec avec l’Ontario? Quels sont les écarts salariaux entre les deux provinces?
Quelles sont les obligations des entreprises envers la société et la planète? Voilà une question qui occupe aujourd’hui un espace croissant dans les débats publics. Les enjeux environnementaux, les préoccupations de la jeune génération et la pandémie de la COVID-19 ont insufflé une intensité nouvelle à ces thèmes.
En septembre 2021, le taux d’activité des femmes de 25 à 54 ans a atteint son plus haut sommet (87,7 %) depuis que Statistique Canada compile les données, soit 1976.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de septembre 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont hausse
Au deuxième trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à
La campagne électorale en cours représentait une occasion en or pour les différents partis de proposer une nouvelle façon pour les gouvernements de soutenir notre économie, de concevoir le développement et leurs politiques de main d’œuvre.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois d’août 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont hausse
• Malgré des progrès notables au chapitre du taux chômage, qui a reculé de 0,3 point de pourcentage pour s’établir à son niveau le plus faible enregistré depuis le début de la pandémie (5,8 %), l’emploi déçoit avec un léger recul de 11 000 emplois
Si le phénomène de la déconsommation était sur les radars des experts marketing depuis plusieurs années, la pandémie l’aurait amplifiée en imposant la plus grande expérience planétaire de déconsommation jamais imaginée.
La pandémie de COVID-19 a mis en relief les graves carences dans la prise en charge des personnes âgées hébergées dans les Centres d’hébergement et de soins de longue durée, les CHSLD.
Marché du travail au Québec: Davantage d’opportunités, mais le chômage de longue durée demeure élevé
Des signaux encourageants : le taux de sous-utilisation de la main-d’œuvre diminue de 1,2 point de pourcentage en juillet 2021 pour atteindre 12 %. Il s’agit du plus faible taux depuis le début de la pandémie.
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de juillet 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont en hausse.
Il y a 63 300 personnes de plus dans la population active, notamment grâce au retour des jeunes (+39 000) et des femmes (+29 900).
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois d’avril 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont en nette hausse
Plus de postes vacants, plus de chômeurs. Au premier trimestre de 2021, le nombre de postes vacants s’est élevé à 146 865
Selon les dernières données de l’Enquête sur la population active, la situation de l’emploi est stable en mai 2021
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de main 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont en nette hausse
La crise sanitaire a non seulement créé de nouveaux bassins de chômeurs et poussé de nombreuses personnes vers l’inactivité, mais elle a aussi exacerbé les besoins de main-d’œuvre dans certaines industries
Les femmes sont plus touchées par les restrictions depuis le début de 2021. C’est surtout le cas en avril alors qu’elles enregistrent une perte de 19 000 emplois (+5 700 emplois chez les hommes).
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois d’avril 2021 : la vigueur et la qualité de l’emploi sont en nette hausse
Note d’analyse Mise à jour : Aérospatiale – Un an après la pandémie, les besoins sont encore plus importants Téléchargez la note d’analyse en français (PDF) Téléchargez la note d’analyse en anglais (PDF) Les deux rapports sur l’aérospatiale publiés […]
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de mars 2021 : la qualité de l’emploi se redresse et se rapproche de son niveau de l’an dernier
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Un taux de postes vacants record…malgré la pandémie!
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Un an après le début de la pandémie, le Québec fait preuve de résilience avec une baisse limitée de l’emploi chez le principal groupe de travailleurs (les 25-54 ans)
Indice de l’emploi de l’IDQ pour le mois de février 2021 : rebond de la vigueur
Malgré une légère accalmie, le marché du travail québécois présentait en décembre 2020 un nombre élevé de postes à pourvoir. La demande de main-d’oeuvre demeurait élevée dans plusieurs secteurs clés de l’économie en dépit de la deuxième vague. C’est ce qui ressort des plus récentes données publiées par Statistique Canada sur les postes vacants pour le mois de décembre 2020.
Alors que la pandémie de la COVID-19 frappait la province et qu’une grande partie de l’économie était mise sur pause, les pertes d’emplois colossales survenues en avril ont fait craindre le pire. Heureusement, l’assouplissement des contraintes sanitaires entre mai et septembre et des restrictions de santé publique moins strictes d’octobre à décembre 2020 auront favorisé une importante récupération des emplois perdus. Si bien que le nombre d’emplois au Québec en décembre 2020 avait atteint 97 % du niveau observé en décembre 2019, soit avant la pandémie.
Lutter contre les inégalités pandémiques et accroître la productivité : mémoire de l’IDQ pour les consultations prébudgétaires du gouvernement du Québec 2021-2022
En janvier 2021, le Québec a perdu 97 900 emplois pour atteindre 94,2 % du niveau d’emploi prépandémie (février 2020). La fermeture des commerces non essentiels décrétée par le gouvernement du Québec dès le 25 décembre est en grande partie responsable de ces pertes d’emplois.
L’Institut du Québec a mis à jour son indice mensuel de l’emploi pour le mois de janvier 2021 par rapport à janvier 2020 (analyse sur un an).
Les perturbations sociales et économiques sans précédent engendrées par la pandémie de la COVID-19 nous incitent, plus que jamais, à mettre de côté les différences et à unir nos forces et nos idées pour trouver des solutions nouvelles et créatives aux enjeux que nous vivons. C’est dans cet esprit de collaboration que le Comité des politiques publiques de l’Association des économistes québécois et l’Institut du Québec ont réuni une dizaine d’experts* pour réfléchir aux questions de finances publiques et proposer des solutions pragmatiques pour affronter les défis budgétaires du Québec.
En décembre 2020, le Québec a perdu 16 800 emplois pour atteindre 97,1 % du niveau d’emploi enregistré en février dernier. Le mois précédent, le Québec avait enregistré un gain d’emplois du même ordre de grandeur (15 700), ce qui nuance le portrait.
Les travailleurs du principal groupe d’âge (25-54 ans) continuent d’être en bonne position avec un taux d’activité stable et un taux de chômage à la baisse. Cependant, plusieurs indicateurs restent inquiétants.
Après plusieurs mois positifs, la reprise de l’emploi au Québec a connu un léger recul en décembre 2020. Il y a 88 500 emplois de moins au Québec comparativement à décembre 2019. Les services d’hébergement et restauration sont les plus touchés avec 96 000 emplois de moins sur un an. En parallèle, d’autres secteurs ont enregistré des gains..
La reprise de l’emploi au Québec tourne au ralenti depuis deux mois. Assumant une grande partie des restrictions sanitaires liées à la COVID-19, le secteur de l’hébergement et de la restauration est loin de son niveau d’emploi observé en novembre 2019 (73 100 emplois de moins). Néanmoins, avec une création nette de 15 700 emplois, en grande majorité à temps plein, le Québec a récupéré 97 % du niveau d’emplois de février.