Le nombre de postes vacants diminue pour un 2e trimestre consécutif mais les chômeurs ne suffisent toujours pas à combler tous les postes vacants.
Le Québec occupe maintenant le premier rang au chapitre du taux de postes vacants, et l’évolution des postes vacants varie grandement d’une région à l’autre du Québec.
La croissance des postes vacants persiste en santé et en éducation mais les postes vacants sont de plus en plus difficiles à combler en santé et en fabrication.
La majorité des postes vacants demandent au maximum un diplôme d’étude secondaire, et l’on constate une croissance historique des salaires offerts.